PRESENTATION
~IDENTITE~Nom :Aijou
Prénom:Makkura
Age:17
Sexe:Mâle
Catégorie de créature: Vampire
~MENTAL~Caractère:Makkura peut paraître insociable et froid au première abord, et cela lui vaudra une transformation vampirique si l’on peut dire ça ainsi, mais si l’on parvient à creuser sa carapace on peut découvrir en lui un compagnon sympathique à l’humour certes ténébreux et spéciale, mais assez spontané.
Il aime la compagnie féminine, mais ne pense pas vraiment à mal pour autant, sa façon de penser peut paraître étrange, ayant était élevé par sa mère uniquement, il ne voit en les femmes que de merveilleuse compagnes, sans aucune pensée déplacée (comment est-ce possible me direz vous, ça l’est voila tout xD). Malgré un visage aux traits froids, il pense de façon plutôt optimiste, n’aime pas les préjugés, et se plait à gentiment excéder les personnes de son entourage
Aime: la compagnie des femmes, regarder la pleine lune, sa condition de vampire
N'aime pas:les défaitiste, les misogyne et la lumière trop intense.
Comment vit-il son statut de créature? Etrangement il ne sera pas étonné par sa transformation, et il l’acceptera sans vraiment la refuser auparavant, au fond il restera le même quoi qu’il arrive, il le sait bien.
Et lui que a toujours détesté se voir dans un miroir ne put que jouir de sa transparence devant une glace. Et la contrainte du sang n’en sera pas vraiment une, il trouvera bien une proie consentante ou non qui acceptera de le nourrir. Lever la malédiction ? Pourquoi faire, il n’y pensera pas vraiment, il ne sait pas trop comment s’y prendre et attendra d’avoir une idée plus précise sur la chose.
~PHISIQUE~ De jours ses cheveux son déjà assez longs, mais bruns, c’est yeux sont bleus, sa musculature est faible voir inexistante ces membres son très fins et il affiche un sourire étonnamment froid pour un humain, étrangement devant les personne a qui il décide d’accordé sa confiance (chose rare) il peut affiché un air naïf rêveur et gêné.
Transformé, son physique est radicalement différent sa musculature se développe, ces cheveux ce rallonge et devienne blond, presque blanc. Ces pupilles devienne argenté au reflet violacé.
Ce qui ne change pas, sa taille 1m83 et un tatouage qu’il a eu assez tôt dans sa vie représentant une femme ailée prenant un enfant dans ces bras avec autant d’amour qu’il était possible de procurer
~HISTOIRE~ Makkura, un nom qui reflète l’histoire de notre ami, noir absolue.
Sa naissance n’a pas vraiment été voulut, ou décider. Sa mère une femme douce et gentille répondent au nom Nyuuwa, avait eu une histoire avec un riche homme d’affaire aussi puissant que cruel, c’est vous dire à quel point il était puissant. Ce monstre à l’enveloppe humaine ne voyait en les femmes que des vautours assoiffés d’argent, dont-il fallait profiter pour en suite s’en débarrasser. Nyuuwa était bêtement tomber amoureuse, sans jamais porté intérêt à son argent. Mais l’homme corrompu et pourri par l’appât du gain ne pus voir cela, il ne pouvait tous simplement pas imaginer une femme désintéressé.
Comme à son habitude il prit soin de lui faire comprendre qu’elle n’était plus désirable et il la jeta, utilisant tous les moyen possible pour qu’elle ne puisse plus s’approcher de lui. Elle tomba enceinte peut après leur séparation, mais se refusa a se faire avorté, par nostalgie ? Regret ? Désespoir ? Qui sait.
Elle le nomma Makkura et l’éleva dans des conditions précaires, mais avec tout l’amour que l’on pouvait offrir à un enfant. Elle gardé constamment le sourire et affiché un tempérament déterminé et optimiste, pour gagner sa vie elle faisait serveuse dans un bar, sa beauté poussait bon nombre d’homme à lui faire la cour mais à chaque fois elle refusait, elle n’expliqua jamais clairement a son fils se qu’il était advenu de son père.
Un jour, alors qu’il avait fêté ces onze ans depuis peu, il posa une question étrange à sa mère
-Pourquoi m’avoir nommé « noir absolu » maman ?
Elle perdit l’espace d’une seconde son sourire chaleureux laissant place à un regard d’une tristesse sans nom et commença son récit.
-Ton père et un homme important et occupé, aussi ne lui en veux pas.
Tu es venu au monde cinq mois après notre séparation, il avait du remarquer, il craignait que je ne sois avec lui que pour l’argent. Aussi les mois avant ta naissance furent très durs pour moi, je n’avais personne avec qui me réconforter, avec qui parlé. Puis tu et arrivé comme une lumière dans un noir étouffant, j’ai tenu à t’appeler ainsi pour ne pas oublier comme une bonne chose peut en effacer une mauvaise.
Mon fils, tu es mon trésor.
Elle finit sa phrase avec un sourire radieux, mais ces yeux étaient larmoyants.
Un peu plus tard, sa mère l’emmena chez un de ses ami, un tatoueur. Elle lui expliqua que ce tatouage marquait son passage en temps qu’homme, mais qui devrait avant tous comprendre sa signification, ainsi le jours de ces douze ans il fut paré d’un tatouage au bas du dos, une femme ailée tenant un enfant dans ces bras.
Pendant treize année, il eurent une vie heureuse, et pleine de joie, malheureusement lors de ces quatorze ans sa mère lui annonça être touché par un mal incurable, et elle y succomba peu de temps après, et il fut envoyé dans un orphelinat, à sa plus grande surprise son père vint le voir, mais pas avec l’intention de le réconforté.
-Si je te laisse chialer dans ton coin tu va vouloir me trouver j’en suis sur, et tu risque de faire de moi la risée de la presse, et sa il n’en est pas question, de plus avant que ton idiote de mère ne s’en aille, elle m’a fait promettre de m’occupé de toi si il lui arriver malheur alo…
Le poing de Makkura empêcha l’homme en face de lui de continuer sa phrase, la colère l’avait envahi, il n’avait conscience de ces actes, et son poing frappa et frappa encore, quant un peu de lucidité le traversa, il ne s’arrêta pas pour autan, cette violence était inutile il le savait, et cela ne ramènerait pas sa mère, mais il devait payer pour l’avoir fait souffrir pour avoir abuser d’elle, quitte à se salir les mains, quitte à être poursuivit pas l’odeur du sang toute sa vie, c’était se qu’il s’était dit avant que les garde du corps de son paternel ne vienne l’immobilisé. Ce qu’il dit par la suite fut sur un ton ironique et froid.
-je suis un homme de parole soit en heureux, je vais te trouver les tutrices les plus « affectueuses » et les établissements les plus « huppées » du pays
Avec toujours le même aire sadique il stoppa sa phrase le temps d’essuyer le sang qu’il coulait de ces lèvres
-Si tu venais à l’avenir à te plaindre de ta condition, ta mère risquerait d’être déshonoré, et je la blâmerai bien qu’elle ait rendu l’âme et ce sans le moindre remord c’est bien comprit ?
Il hocha la tête résigné, son regard au fil des ans devint un peu plus terne, les femme qui obtenait sa garde n’était que des garce abusant de lui sur tous les points, les établissement était plus que spéciaux, et tous l’ignorait, nul doute que son père était une homme influent.
Après plusieurs années de vagabondage, de ville en ville de tutrice en tutrice en tutrice, son père l’envoya finalement dans un lycée aux allures particulières.
Son regard vide comme a son habitude, il se rendit donc là-bas, proche de sa majorité, il allait enfin pouvoir vivre par lui-même et il en était heureux, et puis qui sait peut-être son existence prendrait un tournant intéressant.
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